Comox

16 septembre

Ce matin, Carole et Michael nous amènent au Rib fest de Comox Valley. Quatre compétiteurs ont monté leurs tables et étalé leurs trophées pour mousser les ventes. Ils font également goûter à leurs viandes dont le goût est différent d’un étal à l’autre et qui selon eux est la meilleure recette au monde. Quelques tables de vendeurs d’artisanat et d’information sont également dressées à proximité ainsi qu’une aire de jeu pour les petits.

Après avoir goûté quelques échantillons, c’est le temps de passer aux choses sérieuses. Jean-Luc et Michael commandent la viande tandis que Carole et moi allons chercher les à-côtés. Puis nous nous retrouvons au Beer Garden pour déguster le tout avec un verre de bière. Les musiciens jouent de la musique américaine. L’ambiance y est décontractée. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de touristes sur le site.

Il n’y a pas de façon de manger les côtelettes sans se salir. Heureusement, les organisateurs ont tout prévu. En plus des lingettes humides sur les tables, il y a du papier à main partout et des éviers extérieurs.

Comme si ça n’était pas assez. Michael nous offre un sac de Mini Donoughs (beignets) pour le dessert. Il paraît que c’est le dessert de toutes les fêtes foraines. En tout cas, ils sont délicieux ! Un vrai péché.

Après le Rib Fest, nos amis nous amènent maintenant voir le vieux marché public « Goats on the roof ». Cet endroit tient son succès aux chèvres qui sont grimpées sur le toit de l’immeuble recouvert de gazon. Carole nous fait remarquer que le toit est arrosé pour qu’il demeure bien vert pour les chèvres.

Ce marché très populaire offre des fruits et légumes, mais également des restaurants et plusieurs boutiques d’objets rares et importés. Dans une des cours, nous trouvons également des statues de marbre, à même le sol. Tout le monde peut les toucher et les enfants y jouer. C’est vraiment un endroit particulier.

Parlant de particulier, Carole nous fait remarquer que les feuilles d’érable ici sont beaucoup plus grandes que celles que nous retrouvons au Québec. En comparaison avec sa main, elles sont démesurées.