Death Valley

10 au 13 mars 2018

J’avais souvent entendu parler de la Vallée de la mort et je m’étais imaginé un lieu terne, dans des teintes de gris et de beige. Un endroit qui ne serait pas invitant et qui ferait peur. Mais j’avais tort. Le parc national de Death Valley est merveilleux et cache plein de surprises. Un paysage qui nous frappe par sa grande beauté et les multiples couleurs que les formations rocheuses peuvent emprunter.

Il faut tout de même s’en méfier. Plusieurs avis sont faits aux visiteurs pour s’assurer qu’ils aient assez d’eau avant de s’aventurer dans la multitude de sentiers, car c’est l’endroit le plus chaud de l’Amérique du Nord. Il n’y pleut que 3 jours par an, et je ne sais pas si c’est de la chance, mais on a eu de la pluie pendant que nous y étions… Plusieurs des campings s’y trouvant sont d’ailleurs fermés l’été.

Parlant de camping, nous en avons trouvé un qui n’était pas mal du tout (Texas spring). Nous étions campés parmi les formations rocheuses et pouvions les escalader à notre gré pour faire une balade ou pour prendre l’apéro.

Nous avons d’abord visité l’étendue de sel nommée « Badwater » qui se trouve à 85,5 m sous le niveau de la mer. C’est un point d’eau asséché qui a formé cette immense masse de sel sur laquelle nous pouvons marcher librement pour l’explorer.

Nous avons aussi marché quelques sentiers (Golden Canyon, Natural Bridge Canyon) et des dunes de sable.

Nos promenades en moto nous ont amenées dans des routes fabuleuses (Artist Drive, la route de Stonepipe Wells).

C’est vrai que les journées étaient chaudes, mais nous avons trouvé quelques oasis pour nous détendre (la piscine du Furnace Creek Ranch, le restaurant et le jardin du Furnace Creek Inn).